Le Masada: une lutte entre l'oppression et la liberté
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La forteresse et les complexe furent construitent avec une grande technologie, comportant des entrêpôts, des citernes, des casernes, bien sur un palais et des armureries.L'architecture militaire comporte, les camps militaires, le mur de circonvallation et une rampe d'attaque, un ensemble de forteresses de légionnaires de façon quadrilatéraux sont les mieux conservé dans tout le monde romain.
Le masada, symbole de la lutte entre l'oppression et la liberté
La massada est une forteresse naturelle, d'une très belle beauté dans sa pierre rouge qui domine la région de la mer Morte, en Israël, en ancienne Judée. Le Masada est un grand symbole du peuple juif, représentant la résistance des patriotes juifs devant l'oppression romaine.Les patriotes juifs ont préféré se donner la mort plutôt que de vivre comme esclaves ou bien de mourir par la main des Romains. L'histoire de la masada, est un symbole de la lutte de l'homme entre l'oppression et la liberté.
Le site comporte un grand palais construit par le roi, Hérode le Grand et des fortifications militaires. L'architecture militaire du Masada est celle-là mieux gardé de toute l'époque romaine. Non seulement, le site du Masada est riche en architecture militaire mais, il comporte 3 jardins suspendus qui étaient d'une beauté majestueuse et des bâtiments de style romain classique.
La bataille
Après la destruction du temple de Jérusalem, les soldats romains de la Xe légion, menée par Flavius Silva,se dirigent vers le Masada pour tenter de vaincre les derniers patriotes juifs sous le territoire Romain. Les Romains rencontrent une vive opposition et les combats seront très durs. Le chef juif, Éléazar ben Yair prépare son peuple à un long siège. Après quelques mois de combat, en l'an 73, les Romains pénettrent la forteresse. Les patriotes se défendent du mieux qu'ils le peuvent, mais ils ne peuvent plus rien faire devant la suprématie de l'armée romaine. Selon l'histoire, Ben Yair aurait convaincu 960 hommes, femmes et enfants de se suicider en leur affirmant qu'une « mort glorieuse est préférable à une vie d'infamie ». Le 2 mai 73, seules 2 femmes et leurs enfants survivent, cachés dans une citerne. Les Romains seraient entrer dans la forteresse qui brûlait et découvrit tout le peuple zélotes mort...Mon peuple, le peuple juif est un peuple fier. Lors du suicide ou bien du meurtre collectif, les zélotes brulèrent tous les édifices, mais pas les citernes, ni les réserves de nourriture. ils voulaient laisser comme idée qu'ils avaient encore la capacité de vivre et qu'ils avaient choisi eux-mêmes l'heure de leur mort.
Par contre, plusieurs choses sont à interpréter, ou du moins à rectifier. Selon la religion juive, le suicide et même le meurtre n'est pas parmi selon le Talmud, sauf dans certaines conditions. Une théorie plausible est celle du meurtre. Selon une légende, chaque père de famille devait tuer sa propre famille, et puis, avec un tirage au sort, les survivants devaient se tuer entre eux. Une preuve pertinente est celle des tuiles de tirages retrouvés sur le site.
Année d'inscription au patrimoine mondial de L'UNESCO: 2001
voici les critères de l'UNESCO
Critère (iii) : Massada est un symbole exceptionnel de l'ancien royaume juif d'Israël, de sa destruction violente à la fin du Ier siècle de notre ère, et de la Diaspora qui s'ensuivit.Critère (iv) : Le palais d'Hérode le Grand à Massada est un exemple remarquable des villas luxueuses du début de l'empire romain, alors que le camp et les fortifications autour du monument constituent les travaux de siège romains les plus beaux et les plus complets qui subsistent à ce jour.
Critère (vi) : Les événements tragiques qui survinrent pendant les derniers jours des réfugiés juifs occupant la forteresse et le palais de Massada en font un symbole de l'identité culturelle juive mais aussi, plus universellement, du perpétuel combat de l'homme entre oppression et liberté.
@UNESCO

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